Des parlementaires ont multiplié, ces derniers mois, les propositions de loi visant à amener les banques commerciales à financer des activités d’armement à partir de l’épargne populaire (Livret A et Livret de développement durable et solidaire – LDDS).

Deux propositions de loi seront débattues, l’une au Sénat le 5 mars prochain et l’autre à l’Assemblée nationale le 14 mars 2024 …

TRIBUNE - LIVRET- A + signataires.pdf
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Reste à charge sur l’utilisation du CPF :

pour se former, les salariés devront payer !

 

Une fois de plus, le super ministère de l’Économie a annoncé une très mauvaise évolution du droit de chaque salariée pour accéder à la formation professionnelle.

 

Pour des raisons d’économies budgétaires, Bercy décide de mettre en place une participation forfaitaire à la charge du/de la salariéé qui souhaitera se former par le biais de son compte personnel de formation (soit un reste à charge équivalent à 10% du prix des formations).

 

Pour le ministre, cette mesure serait « juste » et « nécessaire ».

 

C’est tout le contraire puisqu’à n’en pas douter, elle pénalisera d’abord les salariées les plus fragiles, celles et ceux dont les salaires sont déjà insuffisants pour bien vivre. Ils seront les plus impactées, alors que ce sont celles et ceux qui ont le plus besoin de se former.

 

Il serait tout à fait possible de faire un autre choix : par exemple, en augmentant la contribution des entreprises au financement de la formation professionnelle. En effet, depuis 2014, le choix très contestable a été de diminuer cette contribution de 1,6% à 1% de la masse salariale, privant d’autant le financement de la formation professionnelle.

 

Une fois de plus, ce gouvernement annonce une mesure sans la moindre concertation avec les organisations syndicales qui ne seront contactées uniquement pour discuter des modalités de mise en œuvre !

 

Une fois de plus, la seule solution de ce gouvernement, c’est de restreindre les droits des salariées et, particulièrement, ceux des plus précaires. C’est inadmissible !

 

Pour la CGT, rétablir un réel droit à la formation professionnelle qualifiante implique de revoir et d’accroître son financement et de la sortir de la marchandisation promue par la loi de 2018.

 

Montreuil, le 20 février 2024

 

Tract public augmentation electricite.pd[...]
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2023_01_13_InfoCom-CGT_Lettre-au-Preside[...]
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Si le gouvernement passe des réformes violentes contre le monde du travail avant les JO, on mobilisera !

Intégrale de l'interview du 30/01. Après le sujet sur la révolte des agriculteurs, Sophie BINET aborde les suites à la réforme violente des retraites envisagées par les gouvernants pour achever les travailleurs âgés et les demandeurs d'emploi, etc.

Collectif : « Non au financement de l’armement et des centrales nucléaires avec nos LIVRETS A ! »

 

 

Le courrier sous PDF ci-dessous est adressé, ce soir, au Président de la commission des finances du Sénat (Claude Raynal, sénateur socialiste).

 

Des courriers, du même type, vont être adressés ce soir par mail aux président.e.s des groupes parlementaires de l'Assemblée nationale (excepté le RN) et du Sénat, au Président de la commission des finances de l'Assemblée nationale et à la Présidente de l'Union sociale pour l'Habitat (Mouvement HLM)

 

D'autres responsables peuvent être sollicités si les organisations membres du Collectif le désirent.

 

Dès que nous aurons un accord de principe pour une première audition, une visioconférence sera 

organisée avant cette audition pour que les organisations participantes puissent coordonner leurs

interventions.

 

Bien fraternellement,

 


31 janvier 2024

Loïc DAGUZAN

Président INDECOSA CGT Paris

Association agréée de consommateurs et de locataires

Non au financement de l’armement et des [...]
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France Travail :

plus de chômage, moins de droits ?

 

Cette première publication de la Dares après la mise en œuvre de France Travail tombe mal pour le gouvernement : après pas moins de 4 réformes de baisse des droits des travailleures privé·es d’emploi en l’espace de 3 ans, censées réduire drastiquement le nombre de chômeurs, le couperet tombe : on enregistre, ce trimestre, 1 point supplémentaire d’inscrit·es à France Travail en catégories A, B, C.

Et, comme depuis le début du mandat présidentiel, les plus touché·es sont les plus précaires. Les inscriptions à France Travail des moins de 25 ans augmentent de 3,2% ce trimestre - catégories A, B, C France métropolitaine. De la même manière, le nombre d’inscrites en catégories B – activité réduite de moins de 78h – augmente de 2,9%.

Les motifs d’inscription auprès de France travail en disent également long sur la politique menée par le gouvernement. Les inscriptions à la suite d’une mission d’intérim augmentent de 5,2% sur un an et les inscriptions à la suite d’une fin de CDD augmentent, elles, de 5,7% !

Les radiations administratives, en augmentation de 3,6%, sur l’année, ne parviennent plus à masquer l’échec de la politique du gouvernement en matière d’accès à l’emploi : les sorties de catégories A, B, C sur un an pour reprise d’emploi stagnent à 0%.

L’inscription obligatoire des bénéficiaires du RSA à France Travail, en expérimentation, ne concernant que 11 000 personnes pour le moment, ne peut justifier l’augmentation des inscriptions auprès de l’opérateur. Des projets de refonte des statistiques de l’emploi et du chômage sont dans les cartons du gouvernement, notamment auprès du Conseil National de la Statistique...

De nouvelles attaques d’Emmanuel Macron, depuis Davos, contre les droits au chômage, montrent que le gouvernement veut encore amplifier une politique pourtant en échec.

La CGT revendique l’abandon de la réforme France Travail qui entraîne une augmentation nette de la précarité des privées d’emploi à travers les sanctions : les chiffres récents commencent à montrer l’absurdité d’une politique qui prétend lutter contre le chômage en faisant porter la responsabilité sur les privés d’emploi.

 

Montreuil, le 25 janvier 2024

Communiqué de presse

 

97,1 milliards d’euros de dividendes en 2023, le CAC 40

atteint encore des sommets, pas les salaires !

 

En 2023, jamais les inégalités n’ont été aussi criantes. D’un côté, les dividendes ne cessent de progresser alors que, de l’autre, les salaires réels et le pouvoir d’achat, du fait de l’inflation, baissent. Les dividendes augmentent de 40% entre 2021 et 2023 alors que le pouvoir d’achat baisse de 2% sur la même période, et que 17,3% des salarié·es sont au Smic en 2023, soit 3,1 millions de personnes.

 

Ces chiffres ne sont que la face immergée de l’iceberg : plusieurs milliers d’entreprises non cotées ou dont le capital est détenu en nom propre, n’entrent pas dans ce palmarès.

 

La CGT constate que jamais le sentiment de déclassement de nos concitoyen·nes n’a été aussi prégnant, ce qui contribue à la montée des idées d’extrême droite. La hausse des prix devrait atteindre 4,9 % sur 2023 : remplir le réfrigérateur, payer ses factures ou partir en vacances devient de plus en plus difficile. Pire, 8 millions de personnes, soit un quart des travailleur·ses, sont aujourd’hui précaires (Observatoire des inégalités, 2023). L’inflation est amplifiée par les profits : en Europe, 45 % de la hausse des prix est liée aux marges des entreprises (FMI, 2023).

 

La France est championne d’Europe des dividendes versés aux actionnaires, mais pas des augmentations de salaire. Et ce n’est pas la tentative de relance de ce quinquennat par un changement de gouvernement qui va faire aboutir la revendication majeure des travailleurs en cette période de négociations salariales...

 

La CGT rappelle que les richesses doivent être redistribuées à celle et ceux qui les produisent.

 

Quant aux exonérations de cotisations sociales de ces entreprises du CAC 40, qui participent, pour une part, à ces résultats pharaoniques, elles fragilisent notre système de sécurité sociale innovant hérité du CNR ; elles doivent donc être supprimées.

 

L’urgence est d’augmenter les salaires, pas les dividendes !

 

Montreuil, le 11 janvier 2024

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L’énergie doit sortir du marché européen !

 

En savoir plus en cliquant ici !

20231010_9Raisons_Tract_RVB.pdf
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20/12/2023

1er SEPTEMBRE 2023:

APPLICATION DE LEUR RÉFORME DES RETRAITES !

 

Année de naissance

Âge légal de départ

Durée de trimestre requis avant la réforme

Durée de trimestres requis après la réforme

Nombre de trimestre supplémentaires

1960

62 ans

167 trimestres

167 trimestres

0

avant le 1er sept 1961

62 ans

168 trimestres

168 trimestres

0

après le 1er sept 1961

62 ans et 3 mois

168 trimestres

169 trimestres

1

1962

62 ans et 6 mois

168 trimestres

169 trimestres

1

1963

62 ans et 9 mois

168 trimestres

170 trimestres

2

1964

63 ans

169 trimestres

171 trimestres

2

1965

63 ans et 3 mois

169 trimestres

172 trimestres

3

1966

63 ans et 6 mois

169 trimestres

172 trimestres

3

1967

63 ans et 9 mois

170 trimestres

172 trimestres

2

1968

64 ans

170 trimestres

172 trimestres

2

1969

64 ans

170 trimestres

172 trimestres

2

1970

64 ans

171 trimestres

172 trimestres

1

1971

64 ans

171 trimestres

172 trimestres

1

1972

64 ans

171 trimestres

172 trimestres

1

1973

64 ans

172 trimestres

172 trimestres

0

Les carrières longues modifiées

 

Avant la réforme, il existait deux bornes d’âge pour les départs anticipés :

les carrières ayant débutés avant 20 ans et celles avant 16 ans.

A compter de ce 1er septembre 2023, il y a quatre bornes d’âge :

un début de vie active entre 20 et 21 ans, avant 20 ans, avant 18 ans et avant 16 ans.

Il paraît que ce serait pour mieux tenir compte des carrières longues.

La réalité : il n’y a pas de gagnant en matière d'âge de départ par rapport à l’avant-réforme !

 

Retraite minimale revalorisée (il faut y croire), fin des régimes spéciaux, etc …

 

Toujours en lutte et toujours mobilisés !

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Nous, jeunes militants du 21° siècle, devons connaitre les actions de nos anciens. Sans leur courage, il n’y aurait jamais eu ni CGT, ni conquêtes sociales.

Lors d’une opération de rangement à l’Union Départementale, nous avons découvert un livre édité par  nos aînés et qui mérite d’être publié avec nos moyens modernes.

À l’heure où le président MACRON s’apprête par ordonnances à réduire les salariés aux conditions de vie et de travail du 19° siècle, transmettre ce témoignage est une absolue nécessité et une marque de respect pour tous les anciens cégétistes de la Somme.

Nous nous devons d’écrire la suite et de faire perdurer cet ouvrage !

 

Hervé CAMBRAY

webmaster UD CGT 80

le 04 août 2017

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